• Un article (+ une fable) pour comprendre la crise, la dette..

     

     

     

     

    http://cdn.pearltrees.com/s/preview/index?urlId=1188604

    http://cdn.pearltrees.com/s/preview/index?urlId=1188604

     

     

     

    La fable de Louis Even.

    L’île des naufragés 

     

     

     

    Cliquer sur les liens

     

     

    et pour comprendre le mécanisme

    contre les peuples, aujourd'hui,

    des extraits de

    la Lettre d'un Maire

    aux Elus français:

     

    .

    http://www.alterinfo.net/photo/art/default/1275366-1670808.jpg?v=1290015258

    http://www.alterinfo.net/photo/art/default/1275366-1670808.jpg?v=1290015258

     

     

    .

     

    Objet : Les difficultés économiques croissantes des pays de

    la zone euro et les événements récents me conduisent à certaines

    réflexions que je souhaite soumettre à votre sagacité, mais aussi

    à votre conscience.

     

    1- Les présidentielles


    Comme vous le savez, les ‘’grands électeurs’’ ont en ce moment la

    lourde responsabilité de donner ou non leur parrainage à un des candidats

    à l’élection présidentielle. Soucieux de ne pas gaspiller le mien en pure perte, je me suis intéressé de près à toutes les informations qui pourraient m’aider à faire un choix.

     

    2- La création monétaire


    Il y a un problème qui m’a toujours interpellé, c’est la création monétaire

    et l’opacité qui règne autour des explications de certains économistes.

    Au fil de mes recherches, j’ai découvert des informations que

    j’ignorais et que l’immense majorité de nos concitoyens

    ignorent aussi. Ces informations me paraissent fondamentales

    pour comprendre les causes profondes de la dégradation

    continuelle de notre économie depuis

    40 ans (L’augmentation du chômage et des régressions sociales

    étant les conséquences de cette dégradation).

    C’est en raison de la confiance que je vous accorde que je me

    permets de vous faire part de l’état actuel de mes réflexions et

    de vous confier mes questionnements.

     

    3- Le crédit social de C. H. Douglas


    Je propose de partir du concept ‘‘Le Crédit social ’’de Clifford

    Hugh Douglas (1879-1952) C’était un ingénieur comptable

    Ecossais. (Les textes en italique sont des emprunts extérieurs)

     

    (..) 

     


    Dans la vision de C.H. Douglas c’est le pouvoir régalien

    des états de battre monnaie qui permet la création du

    dividende national. Ce dividende est injecté dans le système

    gratuitement (celui qui reçoit ce dividende n’a pas à le

    rembourser ni à payer d’intérêts sur celui-ci).


    4- Louis Even


    Louis EVEN (1885-1974) http://fr.wikipedia.org/wiki/Louis_

    Even était un philosophe et un religieux canadien il s’est inspiré

    du crédit social de Douglas pour développer des variantes

    diverses dont l’une des plus  connues est le mouvement créditiste.

    Pour illustrer de façon très pédagogue le fait que la monnaie

    devrait être au service des échanges donc au service du peuple

    qui produit la richesse par son travail il écrit une fable «L'Île des

    naufragés» fort instructive pour comprendre le mystère de

    l'argent. Pour la cohérence du document papier j’ai reproduit

    l’intégralité de la fable à la fin du document

    prise sur : http://www.michaeljournal.org/ilenauf.htm


    Le conte en question décrit parfaitement la situation des pays

    de l’UE. En quelques lignes :


    Les 5 naufragés débarquent sur une île…Ils produisent ce dont

    ils ont besoin….Ils sont obligés de faire du troc, car ils n’ont

    pas de monnaie… Le troc ce n’est pas très pratique…Un

    6ème naufragé débarque, c’est un banquier… Ce banquier

    à la demande des naufragés, propose de leur prêter à chacun 200$

    pour leur permettre de faire les échanges, mais comme l’argent

    appartient au banquier, celui-ci le prête avec un intérêt de

    8% /an… Évidemment, ce qui devait arriver arriva et à la fin

    de l’année impossible de trouver 1080$ pour rendre au

    banquier, mais le banquier a une idée…. il propose que les

    naufragés ne remboursent pas le capital, mais seulement qu’ils

    payent les intérêts…


    Lire la fable complète à la fin du document….


    D’un point de vue macroéconomique, notre dette abyssale

    ne pourra jamais être remboursée,

    car les intérêts de cette dette n’ont jamais été créés par

    les banques. De plus (courrier du maire au sénateur

    .doc Page 3 sur 20) environ 90% de cette dette correspond

    à de l’argent scriptural (donc créé ex-nihilo) ce qui pose

    la question de la légitimité réelle des intérêts perçus

    par les banques privées. Mais le système a tout prévu,

    car la dette est constamment renégociée, elle passe de

    main en main et je doute qu’il soit aisé de dire à

    un investisseur étranger d’aller s’asseoir sur ses créances

    qui sont peut-être issues de dépôts réels.


    Louis Even, en 1962 lors d’un petit discours montre d’une autre façon

    l’absurdité de la dette publique. http://www.youtube.com/watch?v=VJCIEsjhK_A


    5- Maurice Allais


    Maurice Allais (1911-2010) prix Nobel d’économie http://fr.wikipedia.org/wiki/Maurice_Allais a aussi

    soutenu le crédit social de Douglas. Mais il était aussi

    un anti mondialiste. Dans le document,

    l’Europe en crise que faire ? Réponse à 4 questions,

    il écrit ce qui suit :


    L'aveuglement de nos dirigeants politiques

    Au regard de l'ensemble de l'évolution constatée de 1974 à 2004,

    soit pendant trente ans, on peut affirmer aujourd'hui que cette

    évolution se poursuivra si la politique de

    libre-échange mondialiste de l'Organisation de Bruxelles

    est maintenue.


    En fait, toutes les difficultés pratiquement insurmontables dans lesquelles

    nous nous débattons aujourd'hui résultent de la

    réduction d'au moins 30 % du Produit national brut réel

    par habitant d'aujourd'hui. La prospérité de quelques groupes

    très minoritaires ne doit pas nous masquer une évolution

    qui ne cesse de nous mener au désastre.


    L'aveuglement de nos dirigeants politiques, de droite

    et de gauche, depuis 1974 est entièrement responsable

    de la situation dramatique où nous nous trouvons aujourd'hui.

    Comme le soulignait autrefois Jacques Rueff : "Ce qui doit arriver arrive".


    Toute l'évolution qui s'est constatée depuis 1974 résulte

    de l'application inconsidérée et aveugle de l'Article 110

    du Traité de Rome du 25 mars 1957 constamment repris

    dans tous les traités ultérieurs :


    Article 110

    "En établissant une union douanière entre eux les Etats membres

    entendent contribuer conformément à l'intérêt commun

    au développement harmonieux du commerce mondial,

    à la suppression progressive des restrictions aux échanges

    internationaux et à la réduction des barrières douanières".


    En fait, pour être justifié l'Article 110 du Traité de Rome

    devrait être remplacé par l'article suivant :

    "Pour préserver le développement harmonieux du commerce

    mondial une protection communautaire raisonnable doit être

    assurée à l'encontre des importations des pays tiers dont les

    niveaux des salaires au cours des changes s'établissent

    à des niveaux incompatibles avec une suppression de toute

    protection douanière".


    http://allais.maurice.free.fr/Cliquer%20pour%20chargement.pdf

    http://allais.maurice.free.fr/index.htm

    http://monnaie.wikispaces.com/Proposition+M.+Allais


    Et parlant de la création monétaire :


    Dans un article du quotidien Le Monde (du 25/10/1988),

    Maurice Allais, prix Nobel 1988 d’économie, déclare qu’il

    n’y a pas de différence aujourd'hui entre le métier de faux-monnayeur et celui de banquier.  Peut-on être plus clair ?


    6- Une évidence se dégage


    a- La monnaie sert aux échanges. Le pouvoir régalien des états

    est de pouvoir battre monnaie pour financer certaines dépenses

    publiques. En régulant la création monétaire en fonction de la

    croissance et d’autres facteurs, l’état maintien l’équilibre

    pour que les biens produits puissent être achetés par ceux qui les

    fabriquent. Trop de monnaie c’est l’inflation qui profite aux plus

    pauvres (leurs emprunts deviennent plus faciles à rembourser),

    pas assez de monnaie c’est la récession qui

    profite aux plus riches (la monnaie devenant rare ne se déprécie

    pas). Cette création monétaire même si elle est faible doit impérativement

    être gratuite pour 2 raisons


    - Elle appartient à ceux qui produisent la richesse donc à ceux qui travaillent.

    - Accepter de payer un intérêt sur cette création monétaire, c’est s’imposer

    un impôt à vie qui va croître de façon exponentielle.


    b- Un autre pouvoir des états est de contrôler le libre échange, de pouvoir

    interdire certains mouvements de capitaux, voire

    d’interdire les délocalisations. Sans contrôle les multinationales

    vont obligatoirement délocaliser pour abaisser les coûts

    de production. Les travailleurs français sont mis en concurrence

    avec des travailleurs sans protection sociale donc les régressions sociales

    deviennent obligatoires pour concurrencer ceux qui

    n’en ont pas.


    7- La constitution européenne


     Tout ceci est la vision d’une économie au service du peuple, malheureusement

    la construction Européenne impose l’inverse

    par : L’article 104 du traité de Maastricht,

    puis par l’article 123 du traité de Lisbonne

     

     

    Un coup d'Etat politique et financier en 4 actes :


     

     1  -  1er acte : La France privatise la création monétaire


    En 1973, le ministre des finances Valery Giscard D’Estaing

    (sous la Présidence de Pompidou, ancien directeur général

    de la banque Rothschild) modifie les statuts de la Banque

    de France à travers la loi 73-7pour lui interdire de faire des

    avances ou des prêts à l’Etat.


    2  - 2e acte : On Européanise cette règle


    En 1992, l’article 104 du traité de Maastricht interdit à la

    BCE et aux Banques Centrales Nationales de consentir des

    avances ou des prêts aux États ou aux Collectivités Publiques.

    Cette loi s’étend donc à toute l’Europe.


    3 - 3e acte : La règle passe dans la proposition de constitution

    européenne.


    L’article 123 du traité de Lisbonne reprend mot

    pour mot le libellé de l’article 104 de traité de Maastricht.


    4 - 4e acte : Sarkozy bafoue 200 ans de démocratie Française


    Le traité de Lisbonne a été adopté en France par Mr Sarkozy

    le 04 février 2008 alors que le référendum sur la constitution

    européenne avait été rejeté en 2005 par 53% des Français


    http://www.agoravox.fr/actualites/economie/article/traite-de-lisbonne-

    article-123-le-75113


    Et pour couronner le tout un libre échange sans plus aucun

    contrôle

       

    Article 63 du traité sur la constitution européenne


     

    Article 63 (ex-article 56 TCE)


    1. Dans le cadre des dispositions du présent chapitre,

    toutes les restrictions aux mouvements de capitaux entre

    les États membres et entre les États membres et les pays

    tiers sont interdites.


    2. Dans le cadre des dispositions du présent chapitre,

    toutes les restrictions aux paiements entre les

    États membres et entre les États membres et les pays tiers

    sont interdites


    8- Problème de la croissance


    En plus du problème des intérêts qui ne sont pas créés,

    il y a autre chose d’extrêmement dérangeant dans le système

    économique actuel. Afin de pouvoir rembourser ces intérêts

    croissants, il faut de plus en plus de richesses donc, nous

    disent les économistes, il faut une croissance forte. Mais une

    croissance constante entraîne une augmentation exponentielle

    du PIB. En même temps les mêmes penseurs prônent un développement

    durable. Pour penser qu’un PIB qui croît à

    l’infini est (courrier du maire au sénateur.doc Page 5 sur 20)

    compatible avec un développement durable, il faut, disait

    je ne sais plus qui : être un fou ou un économiste.


    9- La dette publique source de l’INSEE


    Le graphique ci-après provient de l’INSEE

    http://www.insee.fr/fr/themes/tableau.asp?reg_id=0&ref_id=NATTEF08318


    (courrier du maire au sénateur.doc Page 6 sur 20)

    Bien sûr, il serait intéressant de connaître la part des

    intérêts payés entre 1979 et 2010. J’ai cherché

    succinctement sans résultat. Finalement, j’ai trouvé

    un site qui s’était posé la même question :

    http://monnaie.wikispaces.com/Arnaque


    Explications préalables

    Il y a quelques années, j’avais demandé à l’INSEE de

    me fournir le montant exact et précis des intérêts payés

    chaqueannée au titre de la dette « au sens de Maastricht »

    pour l’ensemble des Administrations Publiques (les « APu »

    dans le jargon administratif)… Leur réponse négative

    m’avait poussé à « reconstruire » ces montants à partir

    des taux d’intérêt moyens fournis par la Banque de France,

    et c’est cette reconstruction qui a été à la base des différents

    calculs que les lecteurs peuvent trouver ici ou là dans

    les articles ou les livres [« La dette publique, une affaire

    rentable » (ed Yves Michel) , « Les 10 plus gros mensonges

    sur l’économie » (nouvelle édition 2010, ed Dangles), et

    le dernier paru » Argent, dettes et banques« , (ed Yves Michel)]

    que j’ai publiés sur la question.


    La sortie récente du « RAPPORT SUR LA SITUATION

    DES FINANCES PUBLIQUES »

    ( http://www.ladocumentationfrancaise.fr/rapports-publics

    /104000234/index.shtml )

    m’avait donné espoir que ces données étaient maintenant

    disponibles…


    J’ai donc demandé à nouveau à l’INSEE de me fournir

    ces informations. Malheureusement, voici leur réponse

    (tout à fait incroyable alors qu’on nous sature partout avec

    le problème du poids de la dette) : « L’information recherchée

    (charge de la dette) ne correspond pas à un agrégat de la

    comptabilité nationale et ne figure donc pas dans les résultats

    publiés »


    Nous n’avons pas le droit de savoir comment s’est constituée

    cette dette gigantesque, mais grâce à elle et au chômage

    qui en découle nous avons le devoir de la faire baisser

    en acceptant les régressions sociales, la perte du pouvoir

    d’achat, les privatisations, etc


    Bref au final après recoupement des données de la Banque

    de France et de l’INSEE la personne a pu établir le graphe

    ci-dessous http://monnaie.wikispaces.com/Arnaque


    Ce graphe est en euros constants d’où l’écart sur les

    premières années avec le tableau de l’INSEE qui est en

    euros courants.

     

    Sans l’abandon de la création monétaire aux banques

    privées, la dette publique n’aurait jamais connu l’inflation

    actuelle.


     En 2007 la dette aurait été quasi nulle. Depuis 1979

    c’est la puissance de la fonction exponentielle des intérêts

    qui a fait croître la dette.

     

     

    (..)

     

    la dette colossale de la zone euro ne sera jamais remboursable

    de façon globale pour trois raisons :

     

    - Cette dette est illégitime, car avec les réserves fractionnaires,

    90% de l’argent est créé ex nihilo.


    - Les intérêts ne sont pas crées par les banques.


    - Les intérêts augmentent de façon exponentielle.


    (La première raison est d’ordre déontologique les deux autres sont

    d’ordre arithmétique)


    L’argent créé ex nihilo c’est l’argent dette créé par une

    simple écriture comptable.

     

    (..)

     

    Les banques privées fabriquent la monnaie nécessaire

    et la prêtent aux états moyennant un intérêt à vie.

    Impossible de rendre le capital, car il est nécessaire aux

    échanges. Donc, la dette va augmenter de façon exponentielle.

     

    (..)

     

    Le peuple a éé trahi par ses élus ! 

     

     

    (..) 12- La plus grande supercherie de tous les temps


    a- On interdit aux nations de frapper leur propre monnaie.


    b- On autorise les banques privées de le faire à leur place

    moyennant intérêt.


    c- On interdit aux nations de contrôler le libre échange.


    d- Avec la monnaie unique, on impose un euro fort.


    e- L’euro fort affaiblit les pays les plus faibles.


    f- La délocalisation entraîne des déficits budgétaires.


    g- Les déficits budgétaires entraînent des emprunts.


    h- La dette croît de façon exponentielle pour tous les pays

    de la zone Euro.


    i- Un petit coup de main par les agences de notation

    qui font grimper les taux d’intérêt du pays de leur choix,

    par des prédictions auto réalisatrices  (Note d'eva : A force

    d'être claironnées, elles finissent par se réaliser. Comme les

    sondages, sans cesse martelés, font... l'élu !)

    (Les agences annoncent  que la note de la France et d’autres

    pays va probablement encore baisser, car les perspectives

    économiques ne sont pas favorables sic).


    j- Il faut bien faire attention d’attaquer les états les plus

    faibles, ainsi les grands penseurs européistes pourront dire

    que la faillite est due aux manques de compétitivité à la

    fainéantise du peuple, etc.


    k- Les états attaqués par les spéculateurs se retrouvent

    en cessation de paiement ou ne tardent pas à l’être.


    l- On force les autres pays de la zone EURO à financer

    leurs dettes (MES)


    m- Les autres pays en finançant une dette fictive

    s’appauvrissent et deviennent ainsi les nouvelles

    proies des spéculateurs.


    n- Avec, plans d’austérité sur plans d’austérité, on arrive

    à économiser des sommes considérables pour financer la dette,

    mais ce n’est pas suffisant.


    o- Il faut maintenant que la Grèce vende son patrimoine,

    il faut privatiser pour tout vendre aux Chinois mais aussi à

    des fonds de pension Américains. Cela a aussi commencé chez

    nous.


    p- M. Papandréou voyant son peuple ruiné ne veut plus

    appliquer de plan d’austérité supplémentaire. Il propose un référendum pour savoir si les Grecs sont prêts à quitter

    l’Europe.


    q- M. Papandréou démissionne (mise sous tutelle de la Grèce).


    r- Il est remplacé par M. Papademos non élu, un ancien

    de la banque Goldman Sachs, qui a camouflé la dette

    Grecque et qui a ensuite parié sur son effondrement.


    s- A qui le tour ???

     

     

     

      Les textes complets ici :

     

     

     

    Voir aussi :

     

    Mardi 13 mars 2012

     

    http://2.bp.blogspot.com/-9Egkcnu7xL8/TtxLZ1VVNtI/AAAAAAAADAk/cyu9mZHobjc/s1600/banksters.jpg

     

     

     

    François Mitterrand


    Voilà ce que disait François Mitterrand à propos de

    la guerre économique avec les Etats-Unis


    "La France ne le sait pas, mais nous sommes en guerre

    contre les Etats-Unis. Une guerre permanente, économique,

    une guerre sans morts. [...] Oui, ils sont très durs les

    Américains, ils sont voraces, ils veulent un pouvoir sans

    partage sur le monde. Une guerre inconnue, une guerre

    permanente, sans morts apparemment, et pourtant une guerre

    à mort." François Mitterrand (1916-1996), Ex-Président français.

    Commentaire lors d'un entretien privé avant sa mort, cité dans le

    Courrier International du 13 Avril 2000

     

     


  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :