• Quelques vérités sur l'Europe, par eva R-sistons (+ vidéo dictature UE)

     

     

     

     


    http://www.presseurop.eu/fr/content/article/1161171-l-europe-contre-le-peuple

     

     

    Quelques vérités sur l'Europe de Bruxelles

    - et de Jacques Delors !

    Par eva R-sistons

     

     

    On discute de l'Europe. A quoi bon d'ailleurs ? Tout est décidé à Bruxelles, et les peuples n'auront rien à dire. Et s'il y a référendum, on n'en tiendra plus compte: Sarkozy a montré la voie !

     

    Et donc, l'Europe supra-nationale avance, qu'on le veuille ou non. Les peuples ne sont pas là pour décider, mais pour subir ! Subir en particulier la dictature de Bruxelles, comprenez - la dictature des Grandes banques et des Lobbies. J'écoute en ce moment le débat sur la LCP  " Jacques Delors sur l'avenir de l'Union européenne", 12 décembre 2012. Et que dit le fameux Delors ? "Marché Unique, cohésion économique et monétaire - une limite, cependant : la politique étrangère, de la Défense, qui n'avance pas.... La coopération sera renforcée avec l'Union BANCAIRE. Le groupement doit aller plus loin. L'Union des 27, c'est trop compliqué, allons vers la GRANDE Europe" (Une, donc !).

     

    Je ne vais pas entrer dans le détail. Je voudrais rappeler quelques notions ou évidences - de bon sens, en particulier.

     

    - D'abord, cette Europe n'est pas celle des peuples, du social, de la paix, etc. L'Europe, c'est la guerre (vidéo François Asselineau - et dans une autre vidéo il explique comment l'Europe a été créée par les Américains pour servir leuts intérêts). J'ajoute qu'elle a sans doute été programmée par les Etats-Unis via la guerre mondiale, sachant que leur puissance incontestable surgirait sur les ruines de états européens. Des clans comme celui des Bush ont un lien direct avec cette guerre abominable d'ailleurs comme d'habitude sous de faux prétextes.

    - Cette Europe s'est empressée d'intégrer les pays baltes - pour à la fois affaiblir la Russie et consolider le modèle libéral dans les ex Etats soviétiques. Ne s'agit-il pas là, en filigrane, de la préfiguration de l'Europe... de la guerre ?

    - Loin d'être l'Europe des peuples, prenant en compte leurs besoins et leurs aspirations, cette UE bruxelloise est celle des Marchés, de la compétition, du libre-échange, de la libre CONCURRENCE. Nous sommes loin de la coopération des peuples ardemment prônée par un Chavez ou un Castro si décriés ! 

    - Loin d'être sociale, elle se fonde non seulement sur le libéralisme le plus brutal et dur, mais sur l'ULTRA-libéralisme rejeté par les peuples. Un exemple ? Souvenez-vous de Madelin et de son parti LIBERAL; seuls 5% des Français y adhéraient. Et depuis le libéralisme et pire encore, l'ultra-libéralisme, nous ont ont été imposés. Contre notre volonté ! On ne peut même plus parler d'une Europe keneysienne ou même rhénane, mais seulement anglo-saxonne. Delors rappelle d'ailleurs qu'il y avait plusieurs Europe : "Modèle anglo-saxon même blairiste,  modèle du Nord social-démocrate, et puis l'allemand, avec son économie sociale de marché, enfin celui du Sud, avec un Etat omniprésent". En supprimant peu à peu toutes les conquêtes sociales de nos aïeux, en privatisant tout même nos services publics, nous nous rapprochons à grands pas du modèle anglo-saxon le plus rigide, le plus anti-social, le plus anti-populaire: Celui de Mme Thatcher ! Quelle trahison de "l'idéal européen", si tant est qu'il ait réellement existé ! Delors, pathelin, ajoute : "Si l'UE réussit, la place de Londres perdra de sa puissance au profit de celles de Francfort et de Paris". La Finance, encore et toujours ! L'Europe n'est-elle que cela ? Hélas, oui ! Et Delors tient à l'euro : "Si l'euro disparaît, le MARCHE unique craque". Marché, encore et toujours. Les peuples existent-ils encore face à cette entité abstraite et broyeuse de vies ? 

    - Loin d'être démocratique avec son Parlement fantoche, l'UE est anti-démocratique, imposant tout d'en haut, à mille lieux des préoccupations de la base (des citoyens et des régions), et même totalitaire. L'Allemagne, qui n'a pas été dénazifiée, n'est pas étrangère à cette orientation. 

    - Loin de respecter la diversité des nations et des régions, Bruxelles centralise tout. Au sein d'une Europe toujours plus centralisatrice et unifiée, les peuples ne perdront pas seulement leurs identités régionales, mais aussi leur identité nationale. Que leur restera-t-il ? La conscience d'appartenir à une grande "union" bancaire ? Pas de quoi les motiver, et surtout voilà de quoi dépolitiser les jeunes... ou de les pousser, par réaction, vers les mouvements ultra-nationalistes et populistes, intolérants, intransigeants, haineux. Delors a beau défendre l'idée d'une "Fédération des Etats Nations, et non un Etat fédéral", "la conciliation d'un processus décisionnaire au sommet plus efficace et les nations existant, car pour prendre en compte la diversité l'Union doit s'arrêter un peu, même si cela ralentit le convoi", les peuples ne sont pas dupes et ils rejettent de plus en plus cette centralisation tueuse d'identités et de nations souveraines. Notons d'ailleurs que tous les intervenants de ce débat ont plus ou moins conscience du désamour des citoyens européens pour cette Europe, conscience de leurs inquiétudes, mais ils n'y répondent jamais vraiment, et pour cause ! Une voix discordante, cependant : Celle de Nicolas Dupont-Aignan, fustigeant ce "Système supra-national qui impute la crise, tous les dérèglements aux Nations, alors qu'elle a des causes structurelles, et un dogme, celui de la monnaie unique". Il plaide "pour une Europe des Nations, pour une Europe démocratique, coopérant dans des domaines comme celui d'Airbus ou en matière d'environnement". Une voix se fait aussi entendre pour proposer l'Europe de la solidarité. Et un intervenant suggère d'introduire une "clause de sauvegarde", sans préciser de quoi il s'agirait. On le voit, les Elus, "nos" Elus, sont tous, ou presque, complices de l'horreur en marche § 1. Ils devraient répondre de leur trahison envers leurs Electeurs !

     

    Finalement, Delors rappelle que "lorsque les gouvernements - nationaux - font des bêtises, ce sont eux qui trinquent", donc allons vers toujours plus d'Europe ! Et lorsque Bruxelles fait des bêtises au profit des technocrates, des lobbies et des Grandes banques, qui trinque ? Nous, les peuples.  Mais existons-nous aux yeux des monstres froids qui décident de tout à notre place ?

     

    Ce qui est sûr, c'est que cette Europe-là ne permettra plus aux citoyens de la contester, de se révolter contre le modèle unique ultra-libéral imposé d'en haut, elle sera gravée dans le marbre.  Aucun pays ne pourra plus choisir sa voie propre, progressiste, sociale, solidaire, il sera de gré ou de force obligé d'accepter les orientations, les diktats d'en haut, sous peine d'amendes le ruinant.

     

    Et dans cette Europe-là, les dettes seront mutualisées - payées par tous les contribuables - et les profits privatisés. Nos avantages sociaux, nos services publics, nos retraites, nos salaires seront mis à contribution, amputés ou supprimés, et même nos patrimoines, comme en Grèce déjà (ses îles, par ex), seront rackettés pour éponger des dettes toujours plus profondes et insolvables.

     

    Si l'on veut "tuer" les peuples, le modèle social (européen), les services publics, les Nations, et au final, la paix (comme en Yougoslavie), une seule potion : L'Europe. Toujours plus d'Europe centralisatrice, ultra-libérale et totalitaire !

     

    Autant dire que les peuples seront sacrifiés à l'hydre du marché Unique - pardon, à l'hydre européenne ! Car la gouvernance européenne est seulement économique, monétaire, financière. Oubliant l'homme - les individus !

     

    Et cela, nous, les individus, ne pouvons le tolérer. D'autant plus que cette Europe infâme est le tremplin du Nouvel Ordre Mondial ! § 2

     

    Eva R-sistons

     

    http://r-sistons.over-blog.com

     

    TAGS : Europe, Jacques Delors, euro, Marché Unique, Bruxelles, Grèce, libéralisme, Madelin, François Asselineau, finance, Yougoslavie, Nouvel Ordre Mondial, Nicolas Dipont-Aignan, nationalisme, populisme, fédéralisme, Mme Thatcher, social-démocratie, blairisme, GB, modèle rhénan, dictature, LCP, banques, Défense, compétition, concurrence, guerre, Londres, Francfort, Paris, Etats-Unis, Bush, Juifs, Proche-Orient, Moyen-Orient, pays baltes, camps de concentration, Chavez, Castro, Allemagne, nations souveraines.

     

    § 1

     

     

        .  .

    2  rappels  parmi  d'autres  :

     

    Alerte ! La dictature financière européenne est en marche..

    .

    Europe-dictature.jpg    

     

    Attention : la dictature financière européenne est en marche…

    Faites passer…


    C’est Patrick Le Hyaric, via son blog, qui m’a alerté. L’information est effectivement d’importance, et mérite d’être relayée (elle l’est déjà dans l’Humanité), surtout dans la mesure où les blogs me semblent de précieux éléments d’information alternative, et cela bien que minoritaires… Il n’y a pas de petits combats, surtout quand leur somme est une bonne cause. Je compte donc comme d ‘habitude sur mes collègues pour en assurer le relais.

    Mais venons en au sujet. Il s’agit d’un document de travail actuellement entre les mains des gouvernements intitulé « Coordination améliorée des politiques économiques dans la zone Euro. Principaux éléments et concepts », dernière mouture du pacte de compétitivité.

    Patrick Le Hyaric le présente comme « un violent coup de force anti-démocratique et l’accélération de la destruction de nos acquis sociaux allant encore au-delà de ce que nous pouvions imaginer avec le traité de Lisbonne. »

    Afin de vous éviter une fastidieuse lecture, voici les principales mesures préconisées :

     

    • mettre davantage en concurrence les salaires, tout en mettant en place un mécanisme « d’ajustement des salaires sur la productivité ». « Les hausses de salaires étendues et prolongées peuvent signaler une érosion de la compétitivité», est-il écrit noir sur blanc.
    • diminuer les salaires dans le secteur public (« modération salariale », disent-ils…),
    • démanteler les systèmes de retraite publique et de sécurité sociale, reculer l’âge de départ à la retraite. (ça, c’est fait…).
    • augmenter l’impôt sur le revenu en France (suite à des études antérieures sur un projet d’harmonisation de la fiscalité entre la France et l’Allemagne)
    • promouvoir la « flex sécurité », c ‘est à dire le précariat comme norme de l’emploi.
    • Acter « la révision des dispositifs de fixation des salaires » pour « augmenter la décentralisation dans le processus de négociation et le mécanisme d’indexation ». Donc, plus de négociations globales collectives, mais des fragmentations par secteur, voire par territoire. La fin des syndicats ?
    • « lever toute restriction d’ouverture dans la vente qui était fondée sur des critères horaires ou géographiques». (c’est DPP qui va être content…). Autrement dit, les magasins seront obligatoirement ouverts le dimanche, et plus si nécessaire. Des secteurs et des professions qui jusque-là étaient protégés par des quotas, comme les pharmacies, les taxis, les notaires, les vétérinaires, les coiffeurs, les architectes, etc., seront ouverts et mis en concurrence. C’est ce que proposait le  rapport Attali
    • Et, pour la première fois, est envisagé dans un texte d’origine européenne la nécessité de modifier les constitutions nationales pour y insérer l’interdiction de faire des « déficits ».

    Comme Patrick Le Hyaric, je pense qu’il est important de mobiliser nos concitoyens, d’alerter l’opinion, et d’utiliser tous les moyens de communication en notre possession pour faire connaître ce projet antisocial et antidémocratique des oligarchies européennes. Pour cela, un seul moyen : parlez de  ce projet autour de vous. Et si vous parvenez à convaincre des journalistes dans votre réseau, qui travailleraient dans des médias traditionnels, de s’emparer du sujet, ce serait encore mieux.

    Nous entrons en effet dans l’ère de la résistance… via une guerre de l’information dans laquelle nous ne sommes hélas que bien petits… et eux si grands.

    Toutefois, un espoir dans la nuit libérale : Denis Robert is not dead… Il nous en faudrait d’autres comme lui. C’est le moment ou jamais, face à une telle offensive.

     

    http://gauchedecombat.wordpress.com/2011/03/04/alerte-rouge/

     

     

    A lire :

    "L'UE escroquerie": Maintenant qu'on y est entrés,sortons-en! - Et les Grecs ?

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    http://media.paperblog.fr/i/497/4973630/mecanisme-europeen-stabilite-avez-entendu-par-L-O6Kqew.jpeg

    http://media.paperblog.fr/i/497/4973630/mecanisme-europeen-stabilite-avez-entendu-par-L-O6Kqew.jpeg

     

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    Les ministres des finances UE d'accord sur le MES; l'euro devient instrument de pouvoir, dominateur, redistributeur, d'expropriation.

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    Le MES, le Mécanisme Européen de Stabilité, imposé par l'UE aux peuples

    <nobr>Mercredi 25 janvier 2012 10h16</nobr>

     

    Les ministres des Finances européens se sont mis d'accord sur le MES - le fameux "mécanisme européen de stabilité" ou plutôt le fonds de renflouement permanent de la zone Euro. Le déblocage des fonds peut être effectué si la simple majorité des pays impliqués accepte . - Ainsi, l'euro devient aujourd'hui un instrument de pouvoir, de domination, de redistribution et d'expropriation.

     

    Michaela Heine pour News 26
     
    Les ministres des Finances européens ont trouvé un accord lors de leur réunion de lundi concernant le fonds de stabilité permanent MES.

    Ceci a été annoncé par le chef du groupe Jean-Claude Juncker à Bruxelles. Un contrat correspondant doit être signé le 30. janvier. Le fonds d'urgence devrait  entrer en vigueur le 1. Juillet, un an plus tôt que prévu initialement.
     
    Selon le ministère finlandais des Finances les nouvelles dispositions prévoient
    le déblocage des fonds si la majorité des pays impliqués y souscrivent. Concernant les décisions d'une éventuelle augmentation des obligations de paiement d'un pays, un vote majoritaire ne sera pas suffisant.


    La portée du fonds de sauvetage restera d'abord comme prévu à 500 milliards d'euros mais ce montant sera cependant examiner à nouveau en Mars. En marge des négociations, il y a eu des différends sur une augmentation des moyens du MES. Le chef du Fonds monétaire international (FMI), Christine Lagarde, a appelé à la mise à disposition de fonds supplémentaires, mais elle s'est heurtée à l'opposition du gouvernement fédéral allemand.
     

    Le MES instaure désormais des limites principielles à notre souveraineté étatique et la souveraineté du Parlement sur le budget est ainsi anéantie.


    1.
    Le capital social du MES s'élève à € 500,000,000,000,00 euros. (article 8 paragraphe 1). Selon le paragraphe 4, les membres s'engagent inconditionnellement et irrévocablement à apporter leur contribution au MES. Le libellé de l'article s'assure que les futurs gouvernements y sont tenus.


     2.
    Selon l'article 10, paragraphe 1, les "gouverneurs" (vous pouvez traduire cela par le Soviet suprême du  Comité Central) décident seuls de modifier le capital social. Cela signifie rien de moins qu'au delà des € 500,000,000,000.00, des fonds supplémentaires doivent être apportés "inconditionnellement et irrévocablement" dans le cas d'une telle décision.

    « Par la présente, les membres du MES s’engagent de manière irrévocable et inconditionnelle à honorer sur demande tout appel de fonds adressés à eux par le Directeur général en vertu de cet alinéa, et ce dans les sept jours après réception. » 

     

    3. Et comme si cela n'était pas suffisant. Au delà de ce capital déjà énorme le MES a la possibilité de décider à une majorité simple l'augmentation des fonds. Ainsi en fonction de l'Article 17 paragraphe 1 il est habilité à souscrire, pour répondre à ses responsabilités, sur les marchés, des prêts auprès de banques, d'institutions financières ou d'autres personnes ou entités. Un contrôle parlementaire n'est pas prévu. Les modalités de l'emprunt seront réglées par le Directeur exécutif en conformité avec la régulation dont les lignes directrices sont déterminées à être adoptées par le Conseil (paragraphe 2).


    4. Pour que tout se passe pour le mieux dans le meilleur des mondes nous avons l'articel 25 («audit externe»). «La vérification des comptes du MES est effectuée par des auditeurs externes indépendants accrédités par le Conseil des gouverneurs." Une étrange garantie pour le succès de l'indépendance, si l'examiné peut choisir son propre examinateur.


    5. Par les règles d'immunité (articles 27 et 30) le MES et ses organes se sont libérés totalement de tout contrôle juridictionnel et parlementaire.

    « Le MES, ses biens, ses financements et ses avoirs, où qu’ils se trouvent et quel qu’en soit le détenteur, bénéficiera de l’immunité de toute forme d’action en justice. »

    « Les biens, financements et avoirs du MES, où qu’ils se trouvent et quel qu’en soit le détenteur, seront à l’abri de toute perquisition, réquisition, confiscation, expropriation ou toute autre forme de saisie » suite à une « action exécutive, juridique, administrative ou législative »

    Enfin, l’article 30 confère aux gouverneurs, aux directeurs et à tout le personnel du MES l’immunité judiciaire à l’égard de « tout acte exécuté dans leur qualité officielle » et « l’inviolabilité pour ce qui est de leurs documents officiels ». Autrement dit, ils n’ont à rendre de comptes à personne

     

    Le parachute de sauvetage permanent MES est une grossière construction  inconstitutionnelle, qui vise à la destruction d'une grande partie de notre ordre constitutionnel et de notre démocratie parlementaire libérale.

    .

     

    http://poi72.over-blog.com/article-dans-toute-l-europe-les-peuples-se-dressent-contre-l-union-europeenne-declaration-du-bureau-nation-104245905.html

    europe-revoltee-greece_12.jpg

     

    Reçu à l'instant 

    (je n'ai pas encore lu les textes,

    mais c'est d'actualité ! eva)

     

     

    Je ne veux pas d'Europe du tout !
     
        Bonjour à toutes et à tous,

    Tous les partisans d'une "autre Europe" nous font faire des illusions sur ce que pourrait être cette prétendue "autre Europe" ; car, dans les faits, elle ne peut être qu'ultraréactionnaire. C'est bien pourquoi je ne veux pas d'Europe du tout !

    Voici un seul exemple qui vaut pour tous les autres :

    Une fois l'Europe terminée et devenue un seul État, car tel est le but des européistes, imaginons un référendum européen sur les droits des femmes. Le résultat est évident : l'avortement sera supprimé et la contraception aussi !

    Toutes les lois réactionnaires "justifiées" par les votes de l'ensemble de tous les Européens seront valables aussi en France, même si les Français n'en veulent pas, et ont voté contre !

    Ils construisent l'Europe pour noyer la France révolutionnaire dans l'Europe réactionnaire !

    C'est comme en 1848, mais à une autre échelle, la révolution n'était présente que dans les grandes villes, surtout à Paris. Alors, pour assassiner la révolution parisienne, ils ont "donné le droit de vote" à l'ensemble des Français. Ainsi, la révolution parisienne a été vaincue par les votes de la France toute entière. Ils ont noyé le Paris révolutionnaire de 1848 dans la France réactionnaire. Lire à ce sujet l'article suivant.

    LE SUFFRAGE UNIVERSEL, CHARME DISCRET DE LA DEMOCRATIE BOURGEOISE :

    http://mai68.org/spip/spip.php?article1550


        do
        http://mai68.org/spip


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