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    La vérité sur nos dirigeants :

    Valls, Sarkozy, Le Pen 

     

     

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    Le vrai visage de notre premier ministre Manuel Valls

     

    Un père qui n'a jamais fui le franquisme

    comme il le prétend auquel cas il serait né en France.

    Une mère suissesse qui s'est enrichie

    grâce à l'or colonial. 

    Lié à Israël que depuis 2008,

    avant engagé aussi fortement

    à la cause Palestinienne.

    Un menteur né.

     

     

     

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          En moins de trois ans, Manuel Valls est passé de l’anonymat (5,6% lors de primaire socialiste de 2011) à Matignon. L’histoire de Manuel Valls est une espèce de bluff très largement reconstruit.


    Issu de la plus haute bourgeoisie catalane par son père et d’une famille suisse enrichie dans le trafic de l’or par sa mère, ce fils d’un célèbre peintre catalan nullement anti-franquiste a grandi dans un milieu huppé, dans une maison située en face de l’île Saint-Louis. Ce qui lui a permis defréquenter le gratin des beaux-arts mais aussi de la politique. Dès ses 18 ans, alors qu’il n’était même pas encore naturalisé français, il a passé un accord secret, appelé « pacte de Tolbiac », avec deux camarades au très brillant avenir : Stéphane Fouks, aujourd’hui pape des communicants socialistes et responsable du Conseil représentatif des institutions juives de France, et Alain Bauer, ancien Grand Maître du Grand Orient de France et ponte de la sécurité urbaine. Son ascension doit beaucoup à ces deux hommes, avec lesquels il est demeuré étroitement lié.


    Le nouveau Premier ministre est aussi l’incarnation même du nouveau Parti socialiste tel que défini par son think tank Terra Nova : un pur apparatchik rompu aux jeux d’appareil, à la fois« boboïsé »social-démocrate modéré en apparence mais surtout haineux vis-à-vis de ses adversaires politiques, prêt à toutes les compromissions avec les milieux sarközystes recentrés, libéral rallié au mondialisme, à l’européisme, au métissage et au multiculturalisme. Ce que d’aucuns pourraient appeler l’« after-socialisme » ou socialisme « à l’eau de rose ». Il est bien évidemment membre du club d’influence Le Siècle, mais aussi du groupe mondialiste de Bilderberg. Semblable aux néo-cons américains, en général venus de l’extrême gauche, il est également un soutien fanatique d’Israël, pays avec lequel il s’est déclaré « éternellement lié ». Mais on ignorait jusqu’à présent complètement que jusqu’en 2008 au moins, Manuel Valls était très clairement pro-palestinien.


    C’est cet ombrageux Catalan qui se voit évidemment trôner en 2017 ou 2024 à la présidence de la République.

     


     

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    Table des matières


    Introduction
    Manuel Valls par lui-même et par les autres
    L’entourage familial de Manuel Valls
    Issu de la grande bourgeoisie conservatrice catholique catalane
    Un père nullement « réfugié anti-franquiste »
    Une famille maternelle enrichie par l’exploitation de l’or colonial
    La misère : grandir dans une maison du Marais, face à l’île Saint-Louis
    Une seconde femme très ambitieuse
    Un pur apparatchik de la politique
    Le « pacte de Tolbiac »
    Marginaliser le PCF et les gauchistes avec l’alliance socialistes-lambertistes
    Initié franc-maçon très jeune
    De Rocard à Hollande en passant par Jospin
    Membre des cénacles mondialistes
    Évry, ou la « petite république vallsienne »
    Manuel Valls, Israël et la communauté juive
    Manuel Valls, ministre de l’Intérieur
    Place Beauvau
    Son équipe rapprochée
    Une action catastrophique
    La répression de La Manif pour tous
    La haine des nationaux
    Alain Soral et Dieudonné, ennemis publics numéros 1

     

    Encadrés


    Les Petits snobismes de Manuel Valls
    Avec l’affaire Dieudonné, Manuel Valls met en place les principes d’une quasi-dictature

     

     

    Valls-expression-dure.jpg

     

    Annexes


    Manuel Valls, descendant de marranes des Baléares ?
    Alain Bauer, Grand Maître de la franc-maçonnerie, de l’influence et de la sécurité
    Stéphane Fouks, le « communicant » strauss-kahnien
    Manuel Valls sur Radio Judaïca Strasbourg, le 17 juin 2011
    Circulaire anti-Dieudonné du ministre de l’Intérieur (Manuel Valls) aux préfets de police


    > Ouvrage à paraître aux éditions Facta le 25 avril 2014, 

     

    http://www.wikistrike.com/article-le-vrai-visage-de-manuel-valls-123435086.html#fromTwitter

     

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    Opération Sarkozy : Comment la CIA

    a placé un de ses agents

    à la présidence

    de la République française

    Nicolas Sarkozy doit être jugé à son action et non pas d’après sa personnalité. Mais lorsque son action surprend jusqu’à ses propres électeurs, il est légitime de se pencher en détail sur sa biographie et de s’interroger sur les alliances qui l’ont conduit au pouvoir. Thierry Meyssan a décidé d’écrire la vérité sur les origines du président de la République française. Toutes les informations contenues dans cet article sont vérifiables, à l’exception de deux imputations, signalées par l’auteur qui en assume seul la responsabilité.

     

    Suite ici :

     

    Opération Sarkozy : comment la CIA a placé un de ses agents

     

     

     

     

    Les vrais Le Pen

     

     

     

    Le rôle secret du FN !

    Voici un petit résumé de l’histoire du FN.

    Son financement via la secte Moon,

    arrière boutique de la CIA en Corée du sud.

    La mise en avant orchestrée par Mitterrand

    ainsi que l’utilité de ce parti pour légitimer

    tout le système démocratique Français !

     http://www.agoravox.tv/actualites/politique/article/le-role-secret-du-fn-43315

     

    Quelques rappels historiques sur le FN

    (vidéo plus courte que celle du Rôle secret du FN).

    Il n'est pas fait mention des financements

    de la secte Moon cependant, dommage.

    https://www.youtube.com/watch?v=y9uIQVZZU2U

     


    JM Brewski : Faites juste un petit travail intellectuel:
    Si demain Marine est présidente,

    elle n'aura pas la majorité a l'Assemblée

    donc elle devra "cohabiter" avec l'UMP.

    Un vote pour le FN n'est donc pas un vote de contestation,

    puisqu'au final on se retrouve avec Copé (ou un autre)

    à Matignon et une politique Ultra-liberale...

    https://www.facebook.com/upr.francoisasselineau?sk=wall&filter=2

     

     

    Le FN a toujours été méprisant envers les classes populaires.

    Il fait des promesses juste pour arriver au pouvoir ! (Ch. D)

     

     

     

    Libérons la France !

     

     

     

    valmy-france.jpg.

     

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    Les médias mentent en permanence,

    il faut le savoir ! Et ils font de la propagande

    contre nos intérêts,

    pour l'UE avec par ex l'ignoble Cohn-Bendit,

    pour les guerres contre les Etats souverains

    (Lybie, Syrie, Yougoslavie, Irak etc),

    pour l'austérité qu'ils nous imposent, etc...

    eva R-sistons

     

     

     

    Russie-guerre-best-copie-1.jpg.
    Photo qui prouve que la Russie veut la guerre !!!
    trouvée ici :
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    http://www.islametinfo.fr/2013/10/05/video-russie-poutine-futur-prix-nobel-de-la-paix/

     

    Déjà en 1950, la Russie était visée !

    Document d'époque cité par F. Asselineau

    .OTAN-bases-US-par-PC-vers-1950.jpg

     

     

    MeRdia de désinformation, de propagande.


    Nobs-Russie.jpg

     

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    Russie-prix-nobel-paix.jpg

     

    La Russie est le meilleur atout pour la Paix

     

    Par Chantal Dupille (eva R-sistons)

     

     

    Propagande de guerre honteuse, à laquelle se prêtent les médias français asservis aux Puissances atlantistes. A Kiev, on accuse la Russie de vouloir la 3e guerre mondiale. Aussitôt la télévision et la Presse reprennent ces fausses rumeurs, ces accusations sans le moindre fondement.

     

    Je le dis, et je le répète clairement : Aucun pays au monde ne tient tant à la paix que la Russie. Car aucun pays au monde n'a autant souffert de la guerre : Plus de vingt millions de morts pour la seule Russie lors de la seconde guerre mondiale, par exemple, et puis Moscou détruite, ses villages aussi, et les récoltes....

     

    Au prix de sacrifices démesurés, la vaillante Russie a vaincu l'armée de Napoléon et celle d'Hitler, elle a libéré le monde du nazisme hitlérien.

     

    Quand on a subi tant d'atrocités, on ne veut plus de guerre. Comme l'Allemagne, d'ailleurs.

     

    La Russie de Poutine est encerclée par les bases de l'OTAN, elle fait tout pour se protéger et protéger les Pro-Russes, en tentant notamment de retrouver une partie de son espace vital, de sa liberté. Mais elle milite pour un monde multipolaire, et elle refuse de s'ingérer dans les affaires des autres, contrairement à l'Occident impérialiste. En Crimée, elle a défendu ses terres, sa base navale, son peuple qui l'a appelée à l'aide. Avec à la clef aucun mort, et un référendum démocratique. Et l'Occident belliciste l'accable de reproches ! Il ne tolère pas qu'elle défende ses intérêts, ses frères de sang, les espaces qui lui restent. L'Occident a tous les droits, la Russie aucun ! Et pour gagner l'Opinion, il travestit la réalité, ment, inverse les rôles. C'est infâme !

     

    Et si la guerre mondiale n'a pas commencé, aujourd'hui, c'est grâce à la Russie qui a stoppé net l'élan meurtrier des Etats-Unis en interceptant les deux premiers missiles lancés sur Damas en 2013, missiles qui devaient être le signal de l'entrée en guerre d'une France au service des intérêts d'Israël. C'est aussi la Russie qui a proposé que la Syrie rende ses armes chimiques, pour apaiser la situation.

     

    Oui, la Russie qui a tant souffert de la guerre fait tout pour l'éviter et l'éviter au monde. La campagne de propagande mensongère à son encontre est un des grands scandales de notre temps; Elle doit sans cesse être dénoncée, au nom de la vérité !

     

    Il est temps de démasquer les imposteurs, et de révéler au monde la réalité : L'Occident prépare en coulisses la 3e guerre mondiale pour masquer son effondrement économique, imposer au monde sa domination, et au passage, provoquer une dépopulation à grande échelle. C'est tout simplement monstrueux !

     

    Les mensonges des dirigeants et des médias atlantistes sont intolérables, comme l'inversion constante des rôles.

     

    J'ose le dire: La Russie, aujourd'hui, est le meilleur atout pour la paix. Et si comme le Général de Gaulle en avait eu la vision, l'UE et la Russie scellaient leur union, une union équilibrant la puissance des Anglo-Saxons, alors la paix aurait réellement avancé...

     

    Meci Jean-Pierre Chevènement d'avoir, aujourd'hui, rétabli l'honneur de la France. Et rappelé son devoir !

     

    Vive la paix ! Vive la Russie ! Honte à l'Occident menteur, prédateur, criminel !

     

    Chantal Dupille (eva R-sistons)

     

    TAGS : Russie, Poutine, guerre mondiale, Crimée, Ukraine, De Gaulle, Chevènement, UE, atlantiste, Etats-Unis, Israël, Kiev, Moscou..

     

    En 1812 la Russie compte 900 000 hommes dans son armée de terre, donc avait plus d’un million d’hommes mobilisés. (Wikipedia)

     

    Campagne de Russie 1812

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Guerres_napol%C3%A9oniennes#Campagne_de_Russie_1812

     

    L’empereur Napoléon Ier et ses maréchaux à la bataille de la Moskowa (ou bataille de Borodino) WIKIPEDIA
    Les Français à Moscou
    Articles détaillés : Campagne de Russie (1812) et Prise de Moscou.

    En 1812, Napoléon envahit la Russie pour obliger le tsar à maintenir le Blocus continental et éloigner la menace d’une invasion de la Pologne par la Russie. La Grande Armée (650 000 hommes dont 270 000 Français) franchit le Niémen le 23 juin 1812. La Russie proclame la Grande guerre patriotique alors que Napoléon avait proclamé la seconde guerre polonaise. Mais, contrairement aux attentes des Polonais, qui fournissent presque 100 000 hommes, Napoléon évite de faire des concessions à la Pologne, les repoussant aux négociations avec la Russie. Soit volontairement, soit par crainte d’affronter sur le champ de bataille Napoléon, les Russes reculent et pratiquent la politique de la terre brûlée, jusqu’à la bataille de la Moskowa, le 7 septembre. Cette bataille sanglante force les Russes à se retirer, et Moscou est prise et mise à sac le 14 septembre. Alexandre Ier refuse de négocier, et Napoléon, sans espoir de victoire décisive, est forcé de faire retraite et d’abandonner Moscou, lorsque son gouverneur, le prince Rostopchine, l’incendie. Avec la Retraite de Russie, la Grande Armée perd 370 000 hommes (en comptant les pertes lors des batailles) et 200 000 soldats sont faits prisonniers. En novembre, seuls 90 000 hommes franchissent la Bérézina. Napoléon doit de plus abandonner son armée pour retourner à Paris, où le général Malet a tenté un coup d'État, et pour préparer la défense de la Pologne. La situation de l’Empereur n’est alors pas si critique qu’il y paraît. Les Russes avaient perdu 400 000 hommes, et leur armée était aussi épuisée. Mais leurs lignes de ravitaillement étaient plus courtes, et ils pouvaient renouveler leurs effectifs plus rapidement que la France. (Wikipedia)

     

     

    ... // Vidéo Barbarossa : L'invasion de l'U.R.S.S

    apocalypse.france2.fr

     

    Russie-guerre-offensive-40.jpg

     

     

    À la fin de 1942, au moment où l'Allemagne, l'Italie et le Japon ont atteint le zénith de leur puissance expansive, leurs forces subissent en Russie, en Afrique et dans le Pacifique des coups d'arrêt que l'avenir révélera décisifs.

    4.1. Ultimes poussées de l'Axe en URSS et en Afrique

    La bataille de Stalingrad (novembre 1942-février 1943)

    La victoire de l'armée soviétique devant Moscou est suivie dans les deux camps par une période de relative accalmie, mise à profit par l'URSS pour réorganiser ses armées et transférer de nombreuses usines de guerre en direction de l'Oural, en Sibérie et au Turkestan.

     

    La guerre sur le front russe, 1943La guerre sur le front russe, 1943

     

    Le 5 avril 1942, Hitler fixe à la Wehrmacht les objectifs de sa prochaine offensive, qui visera la Volga, le Caucase et son pétrole. Retardée par une action de l'Armée rouge au sud de Kharkov (mai), elle débouche le 28 juin en direction de Voronej, pivot à la boucle du Donets, tandis que capitule Sébastopol après un siège de 250 jours.


    Le front russe est percé sur 500 km, et, après la chute de Rostov (23 juillet), les Allemands se lancent vers le Caucase, entrent à Maïkop, plantent le drapeau à croix gammée au sommet de l'Elbrous (21 août) ; ils sont bloqués dans la région du Terek à 120 km de la Caspienne, mais à 600 km de Bakou.

    Au même moment, la VIe armée (→ Paulus) franchit le Don à Kalatch, atteint la Volga (20 août) et conquiert du 1er au 15 septembre une grande partie de la ville de Stalingrad.


    Alors que Hitler croit tenir la victoire, débouche le 19 novembre la contre-offensive soviétique qui, encerclant l'armée de Paulus, la contraint à capituler le 2 février 1943.


    Cette première grande défaite allemande a un énorme retentissement : toute une armée a été détruite après avoir perdu 250 000 hommes à cause de l'entêtement du Führer, ce qui a pour effet de dresser contre lui nombre de chefs militaires. L'Armée rouge a pris l'initiative des opérations ; elle ne l'abandonnera plus jusqu'à Berlin.

     

    Pour en savoir plus, voir l'article bataille de Stalingrad.

     

     

    5.4. La Wehrmacht refoulée de la Volga au Dniestr (1943-1944)

    Si, en 1943, les alliés anglo-saxons ont obtenu des résultats décisifs en Afrique et en Italie, ils n'y ont immobilisé qu'une très faible partie de la Wehrmacht. Les trois quarts du potentiel militaire allemand s'appliquent encore au front soviétique, où, au cours de la même année, la victoire va aussi définitivement changer de camp.


    Au nord, la prise de Schlüsselburg par les Soviétiques (12 janvier) dégage Leningrad ; celles de Viazma et de Rjev (mars) refoulent la Wehrmacht à 250 km de Moscou, mais c'est au Sud qu'ont lieu les actions décisives.


    Au lendemain du désastre de Stalingrad (février 1943), les Allemands, chassés du Caucase comme de la boucle du Don, doivent abandonner Rostov, Koursk et Kharkov (qui est reconquis en mars par Manstein). Le 5 juillet 1943, l'échec de la double offensive blindée allemande (Manstein-Kluge) sur le saillant de Koursk signifie la perte désormais irréversible de l'initiative par la Wehrmacht sur le front de l'Est.


    Le 12, l'offensive soviétique de Rokossovski sur Orel est la première d'une série de coups de boutoir sur Kharkov, Briansk et Smolensk qui mènent à la fin de septembre l'Armée rouge sur le Dniepr : il sera largement franchi en novembre, malgré la réaction de Manstein à Jitomir.

    Refusant tout répit à Hitler, Staline déclenche dès le 18 décembre 1943 la campagne d'hiver : au Nord, la Wehrmacht est refoulée de 200 km sur Narva et Pskov (janvier 1944) ; au Sud, Vatoutine, Koniev, Malinovski et Tolboukhine portent leurs forces sur le Boug (février) et le Dniestr (mars), tandis que Joukov entre en Galicie polonaise, atteint Tchernovtsy et Kovel et menace Lvov.


    Le 15 avril, après la prise d'Odessa et de Ternopol, le front se stabilise : l'Ukraine est totalement libérée, les Soviétiques sont à la porte des Balkans ; Sébastopol tombe le 9 mai ; seuls les pays Baltes et la Russie blanche (actuelle Biélorussie) sont encore aux mains de la Wehrmacht.

     

    Pour en savoir plus, voir l'article guerre germano-soviétique.

     

    http://www.larousse.fr/encyclopedie/divers/Seconde_Guerre_mondiale/122570

     

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    Famille regardant sa maison détruite, 1er septembre 1943.

    Wikipedia

     

    WIKIPEDIA - Pertes militaires alliées sur le front de l'Est122
    Forces soviétiques
      Total morts Tués/disparus Faits prisonniers Prisonniers morts en captivité
    URSS 10 600 000 6 829 437123 5 200 000 3 300 000
    Pologne 24 000 24 000 Inconnu Inconnu
    Roumanie 17 000 17 000 80 000 Inconnu
    Bulgarie 10 000 10 000 Inconnu Inconnu
    Total 10 651 000 6 927 204 + partisans morts 5 280 000 3 300 000

     

     

     

    Soldats soviétiques tués dans la poche de Kholm, janvier 1942.

     

     

     

     

    WIKIPEDIA Pertes militaires de l'Axe sur le front de l'Est121

    Forces de l'Axe
      Total morts Tués/disparus Faits prisonniers Prisonniers morts en captivité
    Allemagne 4 300 000 4 000 000 3 300 000 374 000
    Citoyens soviétiques ayant rejoint l'Allemagne 215 000+ 215 000 1 000 000 Inconnu
    Roumanie 281 000 81 000 500 000 200 000
    Hongrie 300 000 100 000 500 000 200 000
    Italie 82 000 32 000 70 000 50 000
    Total 5 178 000+ 4 428 000 5 450 000 824 00

     

     

     

    Fosse commune de prisonniers de guerre soviétiques massacrés par les Allemands, camp de concentration de Dęblin, Pologne, date inconnue. Wikipedia
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    La bataille de Stalingrad désigne les combats du 17 juillet 1942 au 2 février 1943, pour le contrôle de la ville éponyme, aujourd'hui Volgograd, entre les forces de l'Union des républiques socialistes soviétiques et celles du Troisième Reich et de ses alliés. Ils incluent l'approche de la ville par les armées de l’Axe, les combats urbains pour sa conquête à partir de septembre, puis la contre-offensive soviétique, jusqu'à l'encerclement et la reddition des troupes allemandes. L'ensemble de ces combats, dans et hors de la ville, se sont étendus sur un peu plus de six mois et ont coûté la vie à environ 750 000 combattants1 et à 250 000 civils parmi six nations, ce qui en fait une des batailles les plus meurtrières de l'histoire.

    Avec la bataille de Moscou, en décembre 1941, et la bataille de Koursk, en juillet 1943, elle constitue l'une des grandes défaites de l'armée allemande et est considérée comme un tournant stratégique majeur de la Seconde Guerre mondiale. Elle reste dans les mémoires pour l'âpreté des combats urbains, n'épargnant ni civils ni militaires, ainsi que pour son impact psychologique et symbolique.


    La capitulation de l’armée de von Paulus à Stalingrad, le 2 février 1943, marqua, pour l’opinion publique mondiale, un tournant militaire décisif,mais qui ne fut pas le premier.

    Cette victoire trouve son origine dans les préparatifs de l’URSS à la guerre allemande jugée inévitable : le dernier attaché militaire français en URSS, Palasse les estima à leur juste valeur.
    Contre son ministère (de la Guerre), acharné à faire barrage aux alliances franco-soviétique et tripartite (Moscou, Paris, Londres) qui eussent contraint le Reich à une guerre sur deux fronts, cet observateur de l’économie de guerre soviétique, de l’armée rouge et de l’état d’esprit de la population affirma dès 1938 que l’URSS, dotée d’« une confiance inébranlable dans sa force défensive », infligerait une sévère défaite à tout agresseur. Les revers japonais dans les affrontements à la frontière URSS-Chine-Corée en 1938-1939 (où Joukov se fit déjà remarquer) confirmèrent Palasse dans son avis : ils expliquent que Tokyo ait prudemment signé à Moscou le 13 avril 1941 le « pacte de neutralité » qui épargna à l’URSS la guerre sur deux fronts.


    Après l’attaque allemande du 22 juin 1941, le premier tournant militaire de la guerre fut la mort immédiate du Blitzkrieg.
    Le général Paul Doyen, délégué de Vichy à la commission d’armistice, l’annonça ainsi à Pétain le 16 juillet 1941 : « Si le IIIème Reich remporte en Russie des succès stratégiques certains, le tour pris par les opérations ne répond pas néanmoins à l’idée que s’étaient faite ses dirigeants.

    Ceux-ci n’avaient pas prévu une résistance aussi farouche du soldat russe, un fanatisme aussi passionné de la population, une guérilla aussi épuisante sur les arrières, des pertes aussi sérieuses, un vide aussi complet devant l’envahisseur, des difficultés aussi considérables de ravitaillement et de communications.

    Sans souci de sa nourriture de demain, le Russe incendie au lance-flamme ses récoltes, fait sauter ses villages, détruit son matériel roulant, sabote ses exploitations ».

    Ce général vichyste jugea la guerre allemande si gravement compromise qu’il prôna ce jour-là transition de la France du tuteur allemand (jugé encore nécessaire) au tuteur américain, puisque, écrivit-il, « quoi qu’il arrive, le monde devra, dans les prochaines décades, se soumettre à la volonté des États-Unis.

    » Le Vatican, meilleure agence de renseignement du monde, s’alarma début septembre 1941 des difficultés « des Allemands » et d’une issue « telle que Staline serait appelé à organiser la paix de concert avec Churchill et Roosevelt ».


    Le second tournant militaire de la guerre fut l’arrêt de la Wehrmacht devant Moscou, en novembre-décembre 1941, qui consacra la capacité politique et militaire de l’URSS, symbolisée par Staline et Joukov.

    Le Reich mena contre l’URSS une guerre d’extermination inexpiable jusqu’à sa retraite générale à l’Est, mais l’armée rouge se montra capable de faire échouer les offensives de la Wehrmacht,
    en particulier celle de l’été 1942 qui prétendait gagner le pétrole (caucasien).
    Les historiens militaires sérieux, anglo-américains notamment, jamais traduits et donc ignorés en France, travaillent plus que jamais aujourd’hui sur ce qui a conduit à la victoire soviétique, au terme de l’affrontement commencé en juillet 1942, entre « deux armées de plus d’un million d’hommes ». Contre la Wehrmacht, l’Armée rouge gagna cette « bataille acharnée », suivie au jour le jour par les peuples de l’Europe occupée et du monde, qui « dépassa en violence toutes celles de la Première Guerre mondiale, pour chaque maison, chaque château d’eau, chaque cave, chaque morceau de ruine ».

    Cette victoire qui, a écrit l’historien britannique John Erickson

    « mit l’URSS sur la voie de la puissance mondiale »,
    comme celle « de Poltava en 1709 [contre la Suède] avait transformé la Russie en puissance européenne ».


    La statistique générale des morts de la Deuxième Guerre mondiale donne de 26 à 28 millions de morts soviétiques (les chiffres ne cessent d’être réévalués) sur environ 50, dont plus de la moitié de civils

    Les plus vieux d’entre nous savent, même quand ils ne sont pas historiens, que Stalingrad a donné aux peuples l’espoir de sortir de la barbarie hitlérienne.

    À compter de cette victoire,

    « L’espoir changea de camp, le combat changea d’âme. »





    A voir absolument

    Réalisateur:
    Costelle, Daniel
    Producteur:
    Guillaud, Jean Louis ; Turenne, Henri de
    Participant:
    Simonov, Constantin Mikhailovitch ; Kielmansegg, Johan Adolf von ; Joukov, Gueorgui Konstantinovitch ; Ludnikov, Ivan ; Choumilov, Mikhaïl


    Le meilleur documentaire sur Stalingrad (et j’en ai lu et vu beaucoup)
    Avec les témoignages des russes et soldats allemands qui ont survécu a l’apocalypse

    1 million de mort 750 000 combattants1 et à 250 000 civils

    1 ….. https://www.youtube.com/watch?v=DSJWTvA7sxc
    2 ..…https://www.youtube.com/watch?v=DO7cx50fIng
    3….....https://www.youtube.com/watch?v=22dz8odZh5Y 9mm 45 la haine
    4…… https://www.youtube.com/watch?v=KFJgCz4W84c 8mm 10 ,(16 mm 50 )
    5….…https://www.youtube.com/watch?v=lQ9Mb6rL2Xs




    EXTRAORDINAIRE…..POIGNANT… TERRIBLE

    STALINGRAD MASSENGRAD, C’EST A DIRE FOSSE COMMUNE (16 mm 50)

    1 million de mort


    Image
    http://forum.spirit-modelcar.com/viewtopic.php?f=121&t=2737.

     

     

     

     

    Relations internationales : Poutine impose de nouvelles règles du jeu

    Sergueï Lavrov : « Toutes ces années, nos partenaires occidentaux nous ont menti »


    Echos de Russie pour compenser la désinfo - 7 mythes sur la Russie de Poutine

     


    Que reste-t-il des Droits de l’homme en Ukraine ?

    .

     

    On vous ment aussi sur l' Iran.

    Ce pays ne menace personne,

    mais les USA, l'Occident, oui :

     

     

     


    Iran_versus_USA_attaques_d_autres_pays-99b0d.jpg

     

     

    On tente de faire oublier aux Portugais

    leur glorieuse Révolution des Oeillets !

     

     

     

    portugal-pas-revol-oeillets.jpg

     

    .

    Alerte !

    Nos manuels scolaires

    vont être défigurés !

     

    DeGaulle-imperialisme-US.jpg

     

    L'Histoire revisitée par le Nouvel Ordre Mondial

    par eva R-sistons (Chantal Dupille)

       

        Le Nouvel Ordre Mondial americano-sioniste avance sans bruit, mais très vite. Dans tous les domaines. Et pour gagner du terrain, il doit convaincre dès le plus jeune âge. Ainsi, les enfants du futur devront apprendre à lire, à compter, à se demander s'ils sont nés garçon ou fille, et connaître du passé de la France ce qui ne les conduira surtout pas à réfléchir et à se révolter.


        On sait que le cinéma surtout hollywoodien modèle les esprits, mais on sait moins que les manuels scolaires doivent conditionner. Et comme le Nouvel Ordre Mondial n'aime pas les pages glorieuses de la France exaltant la grandeur du pays, ses traditions, ou ses révolutions, l'Histoire sera non plus chronologique, mais thématique. Adieu donc Jeanne d'Arc libérant la France des Anglais, ou De Gaulle prêchant pour une France souveraine, indépendante, pro Russe, pro Chinoise, pro Arabe, méfiante envers les Américains, les Anglais, les Juifs "dominateurs et fiers". Il ne faut surtout pas que nos chérubins soient subjugués par la Révolution Française, la Commune, Jaurès, De Gaulle, etc. A la place, on leur vantera les bienfaits de l'Europe de la paix, de l'union des peuples, de l'ouverture des frontières, des Marchés procurant emploi, croissance, prospérité et autres balivernes. Et bien sûr, on leur apprendra que le moment le plus important de l'histoire de l'humanité, est la Shoah. Bref, au lieu de découvrir l'Histoire de leur pays, les enfants auront une tête dûment conditionnée pour accepter la Pensée Unique relayée à la télévision, dans la Presse, au cinéma, ou via le futur Télé-Enseignement.


       Cette histoire-là, on va l'accepter ? Non, on fera des histoires, on réclamera le retour à un apprentissage sérieux, honnête, chronologique.


       Savoir ce qui se trame, c'est déjà dire non !


       Eva R-sistons (Chantal Dupille)

     

     

     


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    http://fr.sott.net/article/13446-Le-prochain-traite-europeen-consacrerat-il-le-grand-marche-transatlantique

     

    GMT-consequences.jpg

     

     

     

    TAFTA, TTIP, PTCI… Ce qui se trame derrière ces sigles et dans les négociations secrètes entre l’Union européenne et les États-Unis, c’est la liquidation progressive du pouvoir des États et des citoyens face aux multinationales. Il est urgent de n’en rien ignorer.

     

    Comment ça s’appelle ?

    APT (Accord de partenariat transatlantique), TTIP (Transatlantic Trade and Investment Partnership), PTCI (Partenariat transatlantique sur le commerce et l’Investissement) TAFTA (Trans Atlantic Free Trade Agreement) tout à la fois. Le diable se loge dans les acronymes et la confusion sert les promoteurs de l’opération.

    Certains opposants réfutent la notion de partenariat et préconisent l’appellation Grand marché transatlantique (GMT), qui a le mérite d’être explicite.

    Qu’est-ce que c’est ?

    Un traité de libre-échange actuellement en négociation (depuis juillet 2013) entre l’Union européenne et les États-Unis, qui vise en principe à abaisser les droits douaniers, mais cherche surtout à unifier un grand marché transatlantique (voir ci-dessus). C’est le dernier épisode en date d’un processus d’intégration mis à l’agenda depuis l’éclatement du bloc de l’Est, ayant pour objectif l’harmonisation des législations, des réglementations et des normes – avec des arrière-pensées géopolitiques, comme le souci de contrecarrer l’expansion économique de la Chine.

    Est-ce qu’on nous cache tout ?

    Presque tout. C’est en secret qu’en juin 2013, Le Conseil de l’UE (chefs d’État et de gouvernement) a confié un mandat de négociation à la Commission européenne. Et c’est aussi sans aucun contrôle possible de la part des parlementaires européens, ni aucune consultation des citoyens. Sans grande mobilisation médiatique non plus, le débat est donc largement escamoté, ce qui arrange grandement les promoteurs du GMT.

     

    Reçu du M' PEP

    C’est grave ?

    Oui, très grave.

    D’accord, mais plus précisément ?

    En résumé, le GMT aboutirait à un dramatique abandon de souveraineté de la part des États, au profit d’un pouvoir accru des entreprises multinationales. Le gigantesque marché unique attendu d’un futur traité serait aussi défini comme une instance supranationale dont les règles auront vocation à s’aligner (par le bas) en faveur d’un maximum de libéralisation et de dérégulation, et à se substituer aux législations et aux instances nationales, privant celles-ci de leur pouvoir de décision et les populations de tout moyen de contrôle démocratique.

    L’abaissement des droits de douane est-il un prétexte ?

    Pour une large part, dans la mesure où ils sont d’ores et déjà très réduits entre les deux zones (2% en moyenne)… sauf pour certains secteurs comme l’agriculture, dans lesquels les États-Unis ont tout intérêt à voir s’effacer les absurdes réticences européennes à l’encontre de la viande aux hormones, des poulets désinfectés au chlore, des OGM ou des pesticides. Dans ce domaine, l’abandon des législations de l’UE, protectrices pour les consommateurs, conduirait à la généralisation du modèle intensif d’agriculture et d’élevage, avec des conséquences sanitaires et environnementale incalculables.

    D’ailleurs, s’agit-il seulement de droits de douane ?

    Non, bien sûr : les "obstacles" à la "liberté" du commerce désignent aussi les barrières réglementaires (ou "barrières non-tarifaires"). Justement, le mandat de la Commission se donne pour objectif « d’éliminer les obstacles inutiles au commerce et à l’investissement y compris les obstacles non tarifaires existants ». L’harmonisation attendue pourra ainsi affecter, au-delà des biens marchands, le secteur des services et par extension les législations du travail jugées trop protectrices, mais aussi s’étendre au champ de la propriété intellectuelle, de la protection des données personnelles et à des domaines comme l’éducation et les autres services publics. Seule la culture, après intervention du gouvernement français, est exclue du périmètre – et encore partiellement, puisque cette exclusion ne concerne que l’audiovisuel, et temporairement puisqu’il s’agit d’une simple suspension.

    L’objectif global est-il donc d’inféoder les États et les citoyens aux intérêts privés du commerce international ?

    Bingo. En plaçant les traités internationaux au-dessus des législations nationales, le commerce international se livre à une vaste opération de destruction de la souveraineté juridique des États, qui permet déjà aux grandes entreprises d’attaquer ces derniers. C’est ainsi que la société américaine Lone Pine Resources réclame 250 millions de dollars d’indemnité au gouvernement canadien, dont le moratoire sur la fracturation hydraulique pour l’exploitation des gaz de schiste contreviendrait à la liberté d’entreprendre garantie par l’ALENA (accord de libre-échange entre la Canada, les États-Unis et le Mexique). Les exemples de ce genre abondent, comme celui de cette société suédoise qui demande près de 4 milliards d’euros à l’Allemagne pour avoir décidé de sortir du nucléaire (voir aussi la vidéo ci-dessous). Les litiges de ce genre se règlent devant des tribunaux arbitraux indépendants des justices nationales, et le mandat de la Commission européenne vise à établir un mécanisme arbitral "investisseur-État" qui se substituerait aux juridictions démocratiques.

    Heureusement, le Parti socialiste au pouvoir ne peut cautionner un tel processus de dumping social, fiscal et environnemental, conduisant à aggraver les délocalisations, le démantèlement de la protection sociale et des services publics, l’abandon de la souveraineté démocratique des peuples au profit des intérêts privés, n’est-ce pas ?

    Ah ah ah. Au nom de la lutte contre le protectionnisme et des dogmes libéraux en vigueur, l’ancienne ministre du Commerce extérieur Nicole Bricq s’est faite l’ardente défenseure des négociations, et le PS ne craint pas de se ranger aux côtés de l’UMP dans ce combat. François Hollande a même déclaré à Barack Obama que rien ne s’opposait à « aller vite » dans ce dossier.

    Le combat est-il perdu d’avance ?

    Bien sûr que non. Le texte final devra être adopté, à l’horizon 2016, par le Parlement européen et le Conseil de l’UE, avant d’être ratifié dans chaque pays. Il faut se souvenir de la mise en échec de l’AMI (Accord multilatéral sur l’investissement) à la fin des années 90, et de l’Accord commercial anti-contrefaçon (ACTA) à la fin de la décennie suivante. Un vaste front d’organisations et de partis s’oppose au projet, notamment au travers du collectif Stop TAFTAplusieurs collectivités se sont déclarées "zones hors Partenariat transatlantique de commerce et d’investissement". La prise de conscience s’étend et laisse une chance de ne pas abandonner le dossier aux lobbies. Ah, et puis des élections européennes ont bientôt lieu, donnant une occasion de se mobiliser, aussi bien au cours de la campagne qu’au moment du vote.

    P.S.

    Vidéo de Corporate Europe Observatory (CEO).

    Cliquez sur l’icône en bas à droite pour afficher les sous-titres français.

    http://youtu.be/spBdTcaY3_Q

     

     

    (Reçu du M'PEP)

     

     

     

    Dracula contre les peuples Le titre de ce livre peut apparaître violent et exagéré. Il dit pourtant la nature exacte du projet de grand marché transatlantique pour lequel œuvrent, dans l’opacité la plus totale, dirigeants nord-américains et européens.

    Patrick Le Hyaric révèle ici l’historique et [...]

     

    Lire la suite

     

     

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    Tout ce qu'on ne vous a pas dit

    sur l'UE et l'euro :

     

    François ASSELINEAU - L'Ame de la France - Entretien ..

     

     

     



     

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    100 sites pour consommer sans posséder

    100 sites pour consommer sans posséder

    Alimentation, autopartage, troc… voici une liste d’initiatives françaises de consommation collaborative.

     

    (Publiée une première fois en Juin 2011 et actualisée trente fois depuis)


    Voici une première tentative (à ma connaissance) de création d’une liste d’initiatives françaises (ou ayant des activités en France) pouvant se rapporter à la Consommation Collaborative. Même si cette liste vise une certaine exhaustivité, elle est évidemment incomplète et des précisions mériteraient d’être apportées pour mettre en lumière les différences entre les services. Le parti pris a été d’inclure des initiatives se situant aux limites de la consommation collaborative mais qui méritaient d’être mises en avant pour l’innovation sociale qu’elles représentent. N’hésitez pas à me dire ce que vous pensez de ce parti pris d’ailleurs.

    Cette liste a été établie de manière collaborative avec le collectif OuiShare

     

    Alimentation

    Achat groupé direct au producteur
    Don / Vente de produits issus de son jardin
    Colunching
    Cours de cuisine collaboratifs

    Votre propre menu à la carte d’un restaurant

    Recevez / Allez manger chez des locaux

    Petits plats fait maison
    Rencontres et partage culinaire
    Jardinage

    Location/Revente/Don/Echange/Troc/Envoi de biens matériels

    Location d’objets entre particuliers

    Location d’espace de stockage

    Location de machines à laver entre voisins

    Location d’outils

    Echange/Troc d’objets
    Echange définitif de maisons
    Troc dynamique
    Vide-Dressing
    Troc de fringues

    Recycler vos propres vêtements

    Prêt d’objets

    Livres
    Don d’objets
    Envoyer ses lettres et colis entre particuliers

    Transport

    Location de voitures entre particuliers
    Autopartage
    Covoiturage

    Location de Camping Car

    Location de bateaux
    Covoiturage de colis
    Transport adapté, partagé et insertion
    Parking chez l’habitant
    Partage d’informations sur le stationnement

    Communauté d’écomobilité

    Location de voitures et utilitaires à 1 euro

    Voyages

    Location de logement chez l’habitant
    Couchsurfing
    Vivre des expériences de tourisme avec des locaux
    Organisation de voyage collaboratif
    Partage d’expériences de voyage
    Echange de Maisons

     

    Echange d’appartements entre étudiants

    Accessoires et cadeaux

    Tous types d’artisanat
    Location de sacs à main et accessoires de mode
    Location de lunettes

    Location d’équipement pour enfants

    Location de jouets
    Location d’équipement

    Finance collaborative

    Financement collaboratif de projets (Crowdfunding)
    Prêt entre particuliers

    Echange / Troc de services

    Se rendre service à proximité

    Garde d’animaux entre particuliers

    Communautés

    Echange / Troc de Compétences
    Echange de biens et de services entre entreprises

    Education Collaborative

    Suivez les cours d’un expert : « l’université 2.0″

    Suivez les cours d’un mentor par vidéo-bulle

    Habitat

    Colocation

    Contruction d’habitat participatif
    Voisinage

    Achat de maison à plusieurs

    Coworking et Partage de Bureaux

    Partage de bureaux

    Espaces de coworking

    Recyclage

    Partage de gestes et idées écologiques

    Plateforme BtoB

    Réseau social

    http://www.wikibusterz.com/100-sites-pour-consommer-sans-posseder/


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    TAFTA, TTIP, PTCI… Ce qui se trame derrière ces sigles et dans les négociations secrètes entre l’Union européenne et les États-Unis, c’est la liquidation progressive du pouvoir des États et des citoyens face aux multinationales. Il est urgent de n’en rien ignorer.

     

    Comment ça s’appelle ?

    APT (Accord de partenariat transatlantique), TTIP (Transatlantic Trade and Investment Partnership), PTCI (Partenariat transatlantique sur le commerce et l’Investissement) TAFTA (Trans Atlantic Free Trade Agreement) tout à la fois. Le diable se loge dans les acronymes et la confusion sert les promoteurs de l’opération.

    Certains opposants réfutent la notion de partenariat et préconisent l’appellation Grand marché transatlantique (GMT), qui a le mérite d’être explicite.

    Qu’est-ce que c’est ?

    Un traité de libre-échange actuellement en négociation (depuis juillet 2013) entre l’Union européenne et les États-Unis, qui vise en principe à abaisser les droits douaniers, mais cherche surtout à unifier un grand marché transatlantique (voir ci-dessus). C’est le dernier épisode en date d’un processus d’intégration mis à l’agenda depuis l’éclatement du bloc de l’Est, ayant pour objectif l’harmonisation des législations, des réglementations et des normes – avec des arrière-pensées géopolitiques, comme le souci de contrecarrer l’expansion économique de la Chine.

    Est-ce qu’on nous cache tout ?

    Presque tout. C’est en secret qu’en juin 2013, Le Conseil de l’UE (chefs d’État et de gouvernement) a confié un mandat de négociation à la Commission européenne. Et c’est aussi sans aucun contrôle possible de la part des parlementaires européens, ni aucune consultation des citoyens. Sans grande mobilisation médiatique non plus, le débat est donc largement escamoté, ce qui arrange grandement les promoteurs du GMT.

     

    Reçu du M' PEP

    C’est grave ?

    Oui, très grave.

    D’accord, mais plus précisément ?

    En résumé, le GMT aboutirait à un dramatique abandon de souveraineté de la part des États, au profit d’un pouvoir accru des entreprises multinationales. Le gigantesque marché unique attendu d’un futur traité serait aussi défini comme une instance supranationale dont les règles auront vocation à s’aligner (par le bas) en faveur d’un maximum de libéralisation et de dérégulation, et à se substituer aux législations et aux instances nationales, privant celles-ci de leur pouvoir de décision et les populations de tout moyen de contrôle démocratique.

    L’abaissement des droits de douane est-il un prétexte ?

    Pour une large part, dans la mesure où ils sont d’ores et déjà très réduits entre les deux zones (2% en moyenne)… sauf pour certains secteurs comme l’agriculture, dans lesquels les États-Unis ont tout intérêt à voir s’effacer les absurdes réticences européennes à l’encontre de la viande aux hormones, des poulets désinfectés au chlore, des OGM ou des pesticides. Dans ce domaine, l’abandon des législations de l’UE, protectrices pour les consommateurs, conduirait à la généralisation du modèle intensif d’agriculture et d’élevage, avec des conséquences sanitaires et environnementale incalculables.

    D’ailleurs, s’agit-il seulement de droits de douane ?

    Non, bien sûr : les "obstacles" à la "liberté" du commerce désignent aussi les barrières réglementaires (ou "barrières non-tarifaires"). Justement, le mandat de la Commission se donne pour objectif « d’éliminer les obstacles inutiles au commerce et à l’investissement y compris les obstacles non tarifaires existants ». L’harmonisation attendue pourra ainsi affecter, au-delà des biens marchands, le secteur des services et par extension les législations du travail jugées trop protectrices, mais aussi s’étendre au champ de la propriété intellectuelle, de la protection des données personnelles et à des domaines comme l’éducation et les autres services publics. Seule la culture, après intervention du gouvernement français, est exclue du périmètre – et encore partiellement, puisque cette exclusion ne concerne que l’audiovisuel, et temporairement puisqu’il s’agit d’une simple suspension.

    L’objectif global est-il donc d’inféoder les États et les citoyens aux intérêts privés du commerce international ?

    Bingo. En plaçant les traités internationaux au-dessus des législations nationales, le commerce international se livre à une vaste opération de destruction de la souveraineté juridique des États, qui permet déjà aux grandes entreprises d’attaquer ces derniers. C’est ainsi que la société américaine Lone Pine Resources réclame 250 millions de dollars d’indemnité au gouvernement canadien, dont le moratoire sur la fracturation hydraulique pour l’exploitation des gaz de schiste contreviendrait à la liberté d’entreprendre garantie par l’ALENA (accord de libre-échange entre la Canada, les États-Unis et le Mexique). Les exemples de ce genre abondent, comme celui de cette société suédoise qui demande près de 4 milliards d’euros à l’Allemagne pour avoir décidé de sortir du nucléaire (voir aussi la vidéo ci-dessous). Les litiges de ce genre se règlent devant des tribunaux arbitraux indépendants des justices nationales, et le mandat de la Commission européenne vise à établir un mécanisme arbitral "investisseur-État" qui se substituerait aux juridictions démocratiques.

    Heureusement, le Parti socialiste au pouvoir ne peut cautionner un tel processus de dumping social, fiscal et environnemental, conduisant à aggraver les délocalisations, le démantèlement de la protection sociale et des services publics, l’abandon de la souveraineté démocratique des peuples au profit des intérêts privés, n’est-ce pas ?

    Ah ah ah. Au nom de la lutte contre le protectionnisme et des dogmes libéraux en vigueur, l’ancienne ministre du Commerce extérieur Nicole Bricq s’est faite l’ardente défenseure des négociations, et le PS ne craint pas de se ranger aux côtés de l’UMP dans ce combat. François Hollande a même déclaré à Barack Obama que rien ne s’opposait à « aller vite » dans ce dossier.

    Le combat est-il perdu d’avance ?

    Bien sûr que non. Le texte final devra être adopté, à l’horizon 2016, par le Parlement européen et le Conseil de l’UE, avant d’être ratifié dans chaque pays. Il faut se souvenir de la mise en échec de l’AMI (Accord multilatéral sur l’investissement) à la fin des années 90, et de l’Accord commercial anti-contrefaçon (ACTA) à la fin de la décennie suivante. Un vaste front d’organisations et de partis s’oppose au projet, notamment au travers du collectif Stop TAFTAplusieurs collectivités se sont déclarées "zones hors Partenariat transatlantique de commerce et d’investissement". La prise de conscience s’étend et laisse une chance de ne pas abandonner le dossier aux lobbies. Ah, et puis des élections européennes ont bientôt lieu, donnant une occasion de se mobiliser, aussi bien au cours de la campagne qu’au moment du vote.

    P.S.

    Vidéo de Corporate Europe Observatory (CEO).

    Cliquez sur l’icône en bas à droite pour afficher les sous-titres français.

    http://youtu.be/spBdTcaY3_Q

     

     

    (Reçu du M'PEP)

     

     

     

    Dracula contre les peuples Le titre de ce livre peut apparaître violent et exagéré. Il dit pourtant la nature exacte du projet de grand marché transatlantique pour lequel œuvrent, dans l’opacité la plus totale, dirigeants nord-américains et européens.

    Patrick Le Hyaric révèle ici l’historique et [...]

     

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    La France modelée par le CRIF conduit à la France franquiste de Valls


    La dictature qui rôde

    Par Eva R-sistons


     

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    Sur le C dans l'Air du 3 avril 2014, une réplique m'a interpellée. Dans cette émission de faux débats (car les invités sont interchangeables, tous européistes, libéraux, atlantistes, etc), un intervenant évoque la réforme des territoires. Le 7 avril 2013, par référendum l'Alsace a dit non à la fusion des collectivités territoriales, elle a refusé que les conseils généraux et le conseil régional ne fassent qu'un : "Il faudra alors faire la réforme de façon institutionnelle... Manuel Valls sera tout indiqué pour cela".

    .

    Il faudra donc accepter, de gré ou de force, ce que le Nouvel Ordre Mondial exige. Nicolas Sarkozy le dit clairement: "Le NWO, on y viendra qu'on le veuille ou non". Et ce qu'il veut, c'est la réforme des territoires. Toujours dans le même sens, d'ailleurs, celui de la concentration, des mégapoles, de la rentabilité à tous prix, des économies, des collectivités "puissantes"... et tant pis pour nos villages, nos petits paysans, nos paysages, nos territoires, nos départements - et au risque du chômage et de la désertification. Concentration, gigantisme, puissance... encore et toujours !

    .

    Mais les Français sont réticents. L'Alsace a montré l'exemple : Elle n'a pas voulu de la réforme des territoires ! Une réforme, d'ailleurs, qui mènera directement non seulement à la mort de nos territoires, et plus largement de la Nation, mais à la mise en place d'une Europe des Régions, dans laquelle les plus nantis seront dorlotés, et eux seuls.

    .

    On se souvient que Nicolas Sarkozy, appuyé sur un Parlement de godillots, a imposé le Traité Européen dont les citoyens ne voulaient pas. Demain, la réforme des territoires qui bouleversera absolument tout, sera également imposée. De gré, ou de force. Comme le Grand Marché Transatlantique qui nous enchaînera. C'est ce qui s'appelle la dictature !

    .

    Un référendum est par excellence l'instrument de la démocratie. Il est donc craint par les Dirigeants, puisque la volonté populaire peut faire obstacle aux décisions choisies. Comment faire ? Ne plus jamais recourir aux référendums, d'abord. Ensuite, imposer les réformes. Et lorsque l'intervenant de C dans l'Air dit qu'il "faudra agir de façon institutionnelle", cela veut dire par décrets, tout simplement. Ou avec les godillots du Parlement. Ou encore subtilement, comme pour le Gender déjà à l'école, via par exemple circulaires ou amendements. Bref, le peuple, on s'en fout. D'ailleurs, les meRdias plaident pour le Parti Unique (dictatorial, donc), ou un pouvoir de technocrates aux ordres, comme en Italie, non élu. Le 4e Reich, nous y sommes déjà...

    .

    Et pour imposer ce dont nous ne voulons pas, comme par voie institutionnelle la réforme des territoires, il faudra quelqu'un de sans scrupules, n'ayant aucun souci des intérêts des Français de par ses origines étrangères et son appétit du pouvoir, et surtout autoritaire, si autoritaire qu'il s'apparente plus à un autocrate, à un despote, à un dictateur, à un Fuhrer... qu'à un démocrate. Suivez mon regard... Et les Bilderberg créèrent Manuel Valls, le futur Franco Français !

    .

    Les nazis n'ont pu réaliser leurs projets, mais en s'enfuyant Outre-Atlantique, en Argentine par exemple, ils ont essaimé... et poursuivi en Europe leur rêve totalitaire. Une Europe déjà si fasciste, qu'elle soutient naturellement les putschistes de Kiev, en partie nazis. La boucle est bouclée...

    .

    Non, pas tout à fait. Il manquait en France un personnage pour tout imposer de gré ou de force à un peuple rebelle, c'est Valls qui fut choisi. Le Nouvel Ordre Mondial terrifiant passera par lui...

    .

    Pour le malheur des Français, de la démocratie, et des générations futures.

    .

    La dictature se met en place...

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    Eva R-sistons

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    Valls-fuhrer-copie-1.jpg

     


    Les derniers articles sur un blog que j'aime relayer,

    car on fait tout pour l'occulter:

    Ce que les médias ne nous disent pas... tiens donc !

    .

    UE nazie fond bleu

     

    Nouveau gouvernement :

    Plus ça change et plus c’est la même chose

    http://www.upr.fr/actualite/france/nouveau-gouvernement-ca-change-cest-meme-chose

     

    marionettes-hollande

     

     

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    valls-bilan-negatif.jpg
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    CANTONA

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    Un sayan nommé Cohn-Bendit...

     

    cohn-bendit-copie-1.jpg

    Dany le faux Rouge

    et le vrai Sayan

    par eva R-sistons


     

    Il débarqua à Paris en mai 68. Et se fit connaître comme agitateur-meneur. J'ai écrit un post sur "Dany le Rouge", voici quelques années, pour indiquer qu'il avait été le fossoyeur de Charles de Gaulle. Envoyé par le pays de son coeur, Israël, qui détestait le Général souverainiste. .

     

    Chassé de France, il devint Green en Allemagne, et l'on découvrit aussi qu'il avait un faible pour les petites filles... Puis il revint dans notre pays, pour s'occuper cette fois des Verts qui sous son influence, devinrent verdâtres, rose pâle, sociaux-démocrates, ultra européistes et va-t-en guerres.

     

    Aujourd'hui, il annonce s'éloigner de la politique; Pour s'occuper de foot, et surtout des médias ! En France, ils chérissent les sayanim et les... pédophiles. Et comme l'Europe est discréditée, Cohn-Bendit sera chargé de la défendre surtout parmi les jeunes. En faux Rouge et vrai Européiste atlantiste ! L'affreux rouquin utilisera sa faconde pour ramener les jeunes brebis égarées (par le FN ou l'abstention) dans l'enclos de l'Europe des banksters.

    .

    Autre atout pour les Maîtres du monde, le faux anar et vrai sayan plaide pour le Nouvel Ordre Mondial dont personne ne veut. Mais avec un talent qui peut convaincre... alors, on le voit partout, Presse, TV, radio... il se démultiplie pour la bonne cause des Bilderberg !

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    Et ce grand ami de la France continue de faire entendre sa voix : Ici pour demander qu'elle renonce à Strasbourg pour le Parlement européen, là pour suggérer à notre pays de renoncer à sa voix à l'ONU. Au cas, sans doute, où un nouveau Général de Gaulle s'en serve ?

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    Ne cherchez pas: Il a tout pour plaire aux Maîtres du Monde, par son zèle, et au bon peuple, par son allure sympa et par sa grande gueule.

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    Qu'attend-on pour renvoyer le bonhomme en Allemagne ?

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    Si toutefois elle veut encore de lui...

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    Eva R-sistons

     

     

    08:09 Écrit par Eva R-sistons dans Politique française | Lien permanent | Commentaires

     

    Savez-vous qui est Daniel Cohn-Bendit ? Un grand libéral, aussi ! Voye cette vidéo avec des exemples concrets.

    Et c'est parce qu'il est champion de la mondialisation et de l'Europe libérale, champion des guerres néonconservatrices et du Nouvel Orde Mondial pervers (à l'instar du Nouvel Observateur, par ex), qu'il est exhibé dans les médias et encensé en haut lieu ! Quelle imposture ! eva R-sistons


     

    VIDEO A VOIR ABSOLUMENT, courte

     

    http://mai68.org/spip/spip.php?article364

    Savez-vous qui est Daniel Cohn-Bendit ?

     

     

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